SPIP : un outil au service de la subsidiarité

Mardi 25 avril 2006

« Tout échelon supérieur s’interdit de réaliser lui-même ce qu’un échelon inférieur pourrait faire. La mise en œuvre du principe de subsidiarité conduit donc à un principe capital : l’autonomie ; celle-ci est probablement l’élément fondamental de la nouvelle structure des entreprises de demain »

Jean René Fourtou (Le monde des affaires 18 février 1989)

Quand j’ai découvert SPIP, je cherchais déjà depuis plusieurs années un moyen :

  • de permettre à mes clients de disposer d’un moyen simple de mettre à jour leur site
  • de pouvoir me concentrer sur la création du site sans avoir ni à le faire vivre, ni à devoir facturer la mise à jour de son contenu

Ce moyen, je l’ai trouvé avec SPIP (et plus généralement, les CMS, mais j’ai jeté mon dévolu sur SPIP).

SPIP permet en effet :

  • de séparer le contenu de l’apparence générale du site (avec les squelettes)
  • de distribuer les responsabilités entre :
    • la maintenance technique (web designer)
    • la responsabilité éditoriale (administrateur et administrateur restreint)
    • l’écriture des pages du site (rédacteur)
  • la progression en compétence et donc en responsabilité et autonomie (changement de statut de rédacteur à admin restreint par exemple)
  • l’autonomie dans la gestion du contenu du site par rapport à un prestataire extérieur

En cela, SPIP est un outil qui permet de mettre en place une réelle subsidiarité où chacun peut intervenir à la mesure de ses compétences.

Vivre la subsidiarité est donc possible techniquement avec SPIP. Son vécu concret n’est plus alors qu’une question de choix.

Pour aller plus loin, Management : la subsidiarité

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